L’aventure de l’enfant recrée l’aventure humaine dans ce qu’elle a de plus intime, de plus secret, de plus sacré : l’eau du corps.

Que d’eau, que d’eau.

Selon de nombreuses sources de sagesse, dans l’évolution de la vie l’Aura, corps vital ou corps Aurique est créé avant le corps physique. L’ondulation avant la manifestation, la vibration avant la matière. Ceci semble logique et de rigueur dans l’univers au niveau cosmologique. Pourquoi donc pas au niveau physiologique. Nous savons l’importance de l’ADN dans l’organisation cellulaire et notamment dans l’éclosion des cellules souches primaires. Ce que nous ignorons encore c’est la nature de l’interface entre l’organisation chimique, donc dépendante des lois du monde physique et les informations du champ énergétique Aurique, dépendantes du monde énergétique et de ces lois propres.

Si nous prenons comme postulat que le corps cellulaire se créé dans l’Aura, celui-ci est donc en place avant le développement physique réel, soit avant le patrimoine ADN des deux parents qui lui est bien un développement physique et chimique.

Le corps humain « pousse » littéralement dans l’aura, comme le lotus dans l’eau. Les cellules se développent soutenues par la puissance de l’Aura de l’enfant et dans l’espace définit par son champ d’énergie au sein même de l’aura de la mère. Des études scientifiques l’étudient aujourd’hui et peuvent notamment mesurer l’intensité lumineuse de « micro-intensité » émise par la cellule, soit la manifestation physique de sa charge Aurique. Celle-ci peut être visualisée par exemple avec le principe de la photo Kirlian.

Nous pouvons également penser que si un seul spermatozoïde est porteur de la totalité du patrimoine génétique chimique mâle, l’influence de rayonance de l’Aura peut déterminer le choix de cette cellule porteuse pour une correspondance parfaite avec l’ovule dont le champ énergétique est reconnu par le champ vital du père.

L’Aura de l’enfant se développe donc au sein du champ de la mère, dans le ventre physique de la mère nourricière et influence celui-ci dans la préparation des cellules fœtales par l’information énergétique de son milieu de développement : l’eau.

Lors du développement physique, la création du placenta, l’eau primordiale pour l’enfant,

se réalise dans le champ Aurique du fœtus. Il est alors le véritable placenta éthérique, protégé et soutenu par le champ Aurique de la mère.

Ces deux Auras fusionnés, mais conservant leurs spécialités, l’une créatrice,

l’autre réceptrice recréent la fusion parentale de l’Androgyne d’or des temps anciens.

Voici expliqués les liens extraordinairement forts entre l’enfant et sa mère, mais aussi

les liens très spéciaux tissés entre des jumeaux qui partage le même aura au départ.

Le placenta liquide est l’interface entre le monde de l’énergie et le monde matériel,

comme l’eau de la planète l’a été à l’aube de  l’humanité. La concordance entre les particularités chimiques et physiques de l’eau de mère et l’eau de mer et parlante : taux de salinité, constitution chimique, taux d’acidité, etc.

L’aventure de l’enfant recrée l’aventure humaine dans ce qu’elle a de plus intime, de plus secret, de plus sacré : l’eau du corps. Le placenta est la toute première « eau du corps » pour l’enfant. Les cellules souches vont s’organiser dans et par cette eau matricielle informée en permanence par les deux Auras. Les cellules vont se refermer autour de cette eau primordiale et de ces deux capitaux d’informations éthériques. Durant toute la grossesse, elle est la seule « eau du corps » de l’enfant. Dès lors que la mère « perd les eaux », le jeune être devient autonome dans son propre développement cellulaire, énergétique et aqueux. Il commence à créer sa propre eau pour la première fois. C’est par cela qu’il devient un être consciemment indépendant

Toute sa vie le nouvel humain portera la mémoire Aurique de l’eau de mère inscrite au plus profond de son être aqueux, « l’eau du corps » véritable interface transgénérationnel.

Ceci peut expliquer « la théorie du centième singe ». Cette célèbre expérience américaine sur deux groupes de singes sans aucun contact. A partir d’un nombre critique d’individus capables de réaliser une nouvelle action dans un des groupes, les individus des deux groupes deviennent capables de l’apprendre, de la transmettre et de l’appliquer. Par la transmission d’une signature d’atavisme chimique dans le groupe, mais aussi énergétique dans les deux groupes, capables d’apprendre et toujours actifs et réactifs bien après la naissance.  Véritable champ quantique propre à l’espèce et devenu ultra spécialisé ou même, pourquoi pas inter-espèces. Adam et St François parlait aux animaux, ce que font encore les chamans.

Ceci pourrait expliquer aussi le lien invisible et pourtant bien réel entre les dauphins et les humains, animaux mammifères d’eau et hommes fait d’eau. Par la fusion avec l’Aura de la mère, l’eau de l’enfant porte la mémoire de tous les êtres vivants, humain ou non, qui l’on précédés. Chimiquement relié avec l’ADN et quantiquement* relié avec l’Aura collectif universel, il est donc porteur de la mémoire de l’origine de l’humanité et peut être même avant son avènement physique. Ce serait alors la mémoire des mondes supérieurs traversés lors du voyage de l’âme qui serraient inscrite dans l’eau cellulaire.

Elle deviendrait la porte parfaite pour le voyage hors du corps par la rayonance de son énergie mémoire qu’il suffirait de la redynamiser pour « voyager en âme ».

Cette mémoire doublement Aurique de l’eau participera à toute création et développement cellulaire futur.

Elle est la base de son capital inné ou va se déposer, s’inscrire de manière indélébile toute la mémoire de l’expérience humaine acquise depuis l’aube de l’univers.

Elle garde la mémoire de toutes les fusions des champs Auriques des mères et des enfants.

Elle est la mémoire vivante et secrète du paradis perdu au sein même de la cellule humaine.

Elle reste le témoin de la séparation du champ Aurique d’origine, la séparation d’avec les Dieux.

Elle a vécu la déchirure de Caen et d’Abel, de matière et énergie, de conscience et inconscience.

Elle reste donc l’interface privilégiée pour une ré-information cellulaire complète.

 

* Relié au champ quantique universel.

Voir aussi les travaux de Masaru Emoto sur la mémoire de l'eau.